
If Music Be the Food of Love est une création faisant dialoguer les Sonnets de Shakespeare et ses chansons, mises en musique par de grands compositeurs. Un périple littéraire et opératique, sous la forme d’une fiction contemporaine.
Dans un espace énigmatique, un poète est entouré d’une accordéoniste et d’un électroacousticien qui « nourrissent » son inspiration amoureuse. Délaissé par son amant, le Poète exprime ses sentiments multiples, comme un testament, un chant du cygne poignant…
À travers l'œuvre la plus intime de Shakespeare, If Music Be the Food of Love nous plonge dans une fresque métaphorique qui explore nos tourments et nos passions, tout en interrogeant notre monde, à la fois cruel et sublime.
- Création à l’Opéra Grand Avignon - Théâtre l’Autre Scène de Vedène
- Théâtre Montansier de Versailles
- Théâtre de l’Epée de Bois, Cartoucherie de Vincennes
Extraits de presse
Télérama TT
« Passionnant »
« On s’y laisse perdre sans voir le temps filer, simplement porté par la grâce et l’étrangeté de ce monde plein de mélancolie »
L’Humanité
« Les Sonnets portés au sommet »
« D’un tel raffinement qu’il en est peu d’exemples ces temps-ci »
« Une rare conjonction de talents »
Le Figaro
« Disons-le sans emphase, c’est Sublime ! »
« Un oratorio au stylisme glam rock (…) Le comédien-chanteur - malade d’amour, cette peste -, est sous perfusion. Nous aussi. Shakespeare est le meilleur des sérums »
La Croix
« Une constellation sensorielle envoûtante »
« Comme on est loin du réel, ancré dans notre actualité ! Mais comme on est proche cependant, infiniment proche même, de la vérité humaine et du mystère des sentiments »
Le Point
« L’occasion de découvrir des facettes intimes de Shakespeare, mais aussi la magie de son art qui transfigure les pires tourments en petits bijoux littéraires déployant les splendeurs et les misères de la passion, les dangers de l’interdit"
Sur les planches
« Ce spectacle unique s'apprécie, à bien des égards, comme une véritable oeuvre d'art »
« Saisissant par sa beauté »
« Une brume de bien-être »
« Poétique et extravagant »
« Les Sonnets infusent une construction mentale appelant à la lévitation des sentiments »
Spectatif
« Un superbe spectacle »
« C'est splendide, un pur plaisir d’écoute, de rêverie et d’émotion. Je conseille vivement »
Froggy delight
« D'une voix impressionnante et d'une précision redoutable, Alexandre Martin-Varroy interprète avec autant d'engagement que de talent les affres du grand William »Il
« Un spectacle à la fois puissant et fantasmagorique où l'ambiance créée sur scène brouille nos repères et nous immerge dans un monde poétique et baroque »
La revue du spectacle
« L'ensemble est d'une grande élégance, entre le jeu passionné et palpable du comédien, la musique à l'accordéon de Julia Sinoiméri et les envolées acoustiques de Théodore Vibert » d'un tex
« Intensité dramatique, il y a dans ce spectacle ce que nous pouvons qualifier "d'engagé". Engagé par l'intensité des trente sonnets remarquablement mis en lumière par Alexandre Martin-Varroy mais aussi par la présence énigmatique de la Dark Lady, interprétée par Julia Sinoimeri, figure féminine ambivalente naviguant entre désir et tourment. »te de parag
De la cour au jardin
« Nous sortons totalement convaincus d’avoir assisté à une délicate proposition artistique ambitieuse et maîtrisée de bout en bout »
« Un très beau spectacle musical »
« Le timbre chaud, rond, aux graves réjouissants de puissance et aux aigus subtils et délicats d’Alexandre Martin-Varroy font merveille »
« Une poésie à fleur de peau »
« Shakespeare peut dormir sur ses deux oreilles. Ses sonnets et ses chansons sont entre de très bonnes mains ! »
Théâtreclau
« Un moment poétique et émouvant où texte et musique se répondent pour notre plus grand plaisir »
« Un imaginaire sensible où se mêlent l’intime, le mystère et la beauté »
« Une mise en scène minutieusement orchestrée »
« Un espace où réel et imaginaire se mêlent, révélant une émotion délicate et profonde »
« Alexandre Martin-Varroy incarne le Poète avec brio, sa voix de baryton donnant vie à chaque mot. La Dark Lady, Julia Sinoimeri, accordéoniste, apporte une présence à la fois mystérieuse et musicale. Théodore Vibert, électroacousticien, enveloppe l’ensemble d’un univers sonore subtil et poétique. Tous trois nous enchantent et nous réjouissent »
Singulars
« Ce théâtre musical, fantasmagorique et très incarné, offre ainsi le portrait réjouissant d’un artiste qui fait dialoguer érudition et sensualité, exigence vocale et plaisir du récit, pour transformer un monument poétique baroque en expérience vivante, vibrante, à la fois populaire et raffinée. »
« L’acteur-chanteur s’adresse frontalement au public, avec une palette allant de la naïveté à l’espièglerie, de l’amertume à la tendresse, assumant une incarnation très contemporaine du “je" shakespearien »
« Avec son bric à brac visuel, la mise en scène porte une dimension méta-théâtrale »
« La version française utilisée est celle de Jean-Michel Déprats. Cette édition bilingue, pensée comme un “monument d’écriture subversive”, cherche à concilier précision philologique, fidélité aux ambiguïtés du texte et forte exigence poétique, dans une langue ni archaïsante ni artificiellement modernisée. »
Relation presse : La Strada (Catherine Guizard) et Francesca Magni